Se défait-on jamais de la peur de déplaire ? Je ne sais pas. Je l’éprouve en tout cas chaque dimanche, lorsque j’aborde cette newsletter. Avant, j’avais peur de vous déplaire dans ma newsletter du vendredi. Il faut croire qu’une peur chasse l’autre : depuis que j’écris deux lettres par semaine, celle du vendredi me détend comme jamais ce ne fut le cas auparavant.
J’accepte cette peur. Comme le dit si bien Guillaume Lamarre, elle fait partie du job. Elle indique même que l’on est sur la bonne voie. « Nos peurs les plus profondes sont comme des dragons gardant notre trésor le plus précieux », écrivait déjà Rainer Maria Rilke. Alors je continue. Car dans cette newsletter dominicale, il est effectivement question d’une forme de trésor : qu’est-ce qui m’a émue, enrichie, transformée cette semaine, et qui pourrait vous toucher vous aussi ? Quand je parcours les sujets que j’ai choisis, il me semble qu’il ne s’agit cette fois que de quêtes. J’espère que certaines vous parleront.
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